La nouvelle dimension

3 février, Journée mondiale des zones humides

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3 février, Journée mondiale des zones humides

En Haiti, les activités devant marquer cet évènement s’articuleront autour du thème « Le lac Azuei, un labo vivant des zones humides au niveau de l’Ile Quisqueya ». La cérémonie officielle se déroulera à la salle de conférence François Severin du Parc Naturel Quisqueya de Fonds Parisien, sous le haut patronage du Ministère de l’agriculture.

Les différents acteurs impliqués dans la sauvegarde des écosystèmes dont le ministre de l’environnement Jean François Thomas, entendent augmenter le niveau de conscience écologique des haïtiens, les jeunes de Ganthier en particulier, sur l’importance des zones humides dans la création de richesses.

Il s’agit aussi d’inscrire le lac Azuëi sur la liste des zones humides d’importance internationale et veiller à sa gestion efficace ; d’œuvrer vers l’utilisation rationnelle de toutes les zones humides dans le cadre de l’aménagement du territoire national, de politiques et de législations pertinentes, de mesures de gestion et d’éducation du public; de coopérer au niveau international en ce qui concerne les zones humides transfrontalières, les systèmes de zones humides partagées, les espèces partagées et les projets de développement qui pourraient affecter les zones humides, lit-on dans un document élaboré par les organisateurs de la table ronde prévue le dimanche 3 février à la salle conférence François Severin du Parc Naturel Quisqueya de Fonds Parisien.

La Convention sur les zones humides d’importance internationale, appelée Convention de Ramsar, est un traité intergouvernemental qui sert de cadre à l’action nationale et à la coopération internationale pour la conservation et l’utilisation rationnelle des zones humides et de leurs ressources. Négocié tout au long des années 1960 par des pays et des organisations non gouvernementales préoccupés par la perte et la dégradation croissante des zones humides qui servaient d’habitats aux oiseaux migrateurs, le traité a été adopté dans la ville iranienne de Ramsar, le 2 février 1971 et est entré en vigueur en 1975.

Marais et marécages, lacs et cours d’eau, prairies humides et tourbières, oasis, estuaires, deltas et étendues à marée, zones marines proches du rivage, mangroves et récifs coralliens, sans oublier les sites artificiels tels que les bassins de pisciculture, les rizières, les réservoirs et les marais salants, constituent les zones humides.

CR/

Sources Panos

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