Un égout sans couvercle situé en bordure d’une rue ou à un carrefour n’est pas chose rare à Port-au-Prince. Et c’est dangereux, dit-on. Piétons, automobilistes et conducteurs de deux-roues en font souvent les frais. Le vol de plaques d’égouts serait une nécessité de survie pour certains. Ainsi l’Etat continue-t-il de rester bouche bée face à ces trous béants qui provoque plusieurs accidents.
A défaut de pouvoir remplacer les plaques volées ou pourries, qui effectuera le diagnostic des routes pour cataloguer les zones dangereuses et éventuellement élaborer une cartographie des risques ?
Photos: Lesly Dorcin
Facebook Comments