Des élections pas plus tard que le 26 octobre. Pour Stanley Lucas, c’est le verdict du Dialogue inter-haïtien. Les acteurs politiques, contents ou mécontents, s’ils sont des démocrates, devront se faire entendre par  la voie des urnes, indique-t-il.

En prime, la vigilance du peuple haïtien est sans faille, garantit M. Lucas rappelant que les électeurs sont toujours prêts à gagner les rues pour défendre leur candidat.

Refuser d’aller aux élections parce que Laurent Lamote dirige le gouvernement est un prétexte mis en avant par des partis politiques dont les ressources financières sont insuffisantes pour se lancer dans une bataille électorale, déclare, pour sa part, Me. Michel Brunache.

L’ancien ministre de la Justice garantit que son gouvernement reste ouvert au dialogue pour comprendre les problèmes réels de ceux qui se montrent toujours réticents. Me. Brunache dit croire que les conditions, voies et moyens peuvent être définis pour assurer l’égalité des chances à tous les candidats et partis politiques.