La nouvelle dimension

Me. Févry plaide en faveur d’une « solution de synthèse »

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Me. Févry plaide en faveur d’une « solution de synthèse »

L’opposition craint une concurrence électorale déloyale. Des partis politiques bouderont les élections du 26 octobre parce que, révèle Me André Michel, l’argent qui financera les candidats du palais national proviendra des activités criminelles. Me. Osner Févry a, pour sa part, plaidé en faveur d’une « solution de synthèse »  pour concilier les points de vue des parties en vue de la tenue des élections.

Avertissant pour la énième fois que la famille présidentielle vide les caisses de l’Etat, le militant politique appelle la population à poursuivre le combat anti-Martelly. Me. Michel en a profité pour communiquer le calendrier des manifestations qui se tiendront durant le mois de mai à travers tout le pays.

De son coté, le président de la Coalition nationale des partis politiques non-alignés du centre démocratique (CONACED)  préconise une solution médiane aux problèmes que confrontent l’Exécutif et le sénat pour éviter des élections contestées.

Me. Osner Févry, membre de la Commission de suivi de l’Accord de El Rancho, qui se considère comme « l’avocat du dialogue », estime que l’entente est nécessaire. Le juriste fait remarquer que le document tripartite signé par les acteurs possède des faiblesses autant que la position des six sénateurs évoquant l’article 289 de la Constitution de 1987 pour mettre en place un CEP comporte des failles.

L’avenir politique du pays se joue entre ce que la Constitution ne dit pas et ce que dit l’Accord de El Rancho.

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