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Report sine die de la séance d’interpellation du ministre de l’intérieur

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Report sine die de la séance d’interpellation du ministre de l’intérieur

La séance d’interpellation du ministre de l’Intérieur et des Collectivités territoriales, François Anick Joseph, prévue le mercredi 26 octobre, au Sénat de la République, est reportée sine die.

 

Une lettre adressée au sénateur Ronald Larêche, président du grand Corps, par le groupe majoritaire, a formellement demandé de surseoir à cette séance, pour des raisons procédurales.

Nenel Cassy, représentant du groupe majoritaire et signataire de la lettre, évoque une absence de « concertation préalable entre les groupes et les blocs afin de dégager un consensus  qui aurait la double vertu de supporter ou non la motion de censure ».

Le groupe majoritaire  demande  au président du bureau du Sénat de la République de surseoir à cette séance, jusqu’à ce que la motion de censure soit explorée et discutée en ses « motifs et finalités » lors de la plus prochaine conférence des présidents qui sera tenue (probablement) le premier lundi du mois de novembre 2016, rapporte le Nouvelliste.

Youri Latortue, un responsable du groupe minoritaire, qualifie de marronnage l’attitude de certains de ses pairs qui ne se sont pas présentés pour la séance. Pour lui, les arguments avancés par le groupe majoritaire, opposé à cette séance qui visait à éjecter son ancien collègue sénateur de l’Artibonite, Francois Anick Joseph, de son fauteuil ministériel,  ne tiennent pas debout. « Nous étions prêts à changer de leadership pour une meilleure gestion de l’aide », a affirmé le sénateur Latortue, qui invite la population à prendre note de la mauvaise gestion et de l’incompétence du ministre de l’Intérieur.

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